Melaine Favennec chante Max Jacob
Reprenant une ébauche laissée en chemin il y a des années, Melaine Favennec met en évidence la modernité de Max Jacob.
« Quand j’ai chanté ce texte de Max Jacob à mon ami François Bourgeon, il y a 15 ans, il m’a dit en fermant les yeux : je vois un chemin descendant vers Pont-Croix, et sur la droite une prairie avec des vaches. Il y a quelques jours, je le lui ai rechanté : il m’a dit exactement la même chose. Il avait oublié, c’est moi qui le lui ai rappelé. Cela prouve à quel point les mots d’un poème ou une mélodie, peuvent susciter des images qui parlent très fort à notre inconscient et notre imaginaire personnel ».
Melaine Favennec empoigne sa guitare à la manière d’un artisan, avec l’œil pétillant. Le chanteur s’est littéralement approprié une douzaine de poèmes de Max le Quimpérois. Les textes de Max, né tout de même en 1876, se révèlent d’une étonnante modernité.
![]() |
![]() |
![]() |
||
Melaine Favennec | Hey Ho !
Melaine Favennec |
La chanson des chatons |